Mercredi 27 août 2008 3 27 /08 /Août /2008 22:14
Remiremont
Les systèmes informatiques cafardent. Ils peuvent dire d'où est lu un des papiers de ce blogue. Je vais rapporter à mon tour. La mention :
Remiremont, FranceTue, 26 Aug 2008 16:16:23 -0500
s'est inscrite quelque part dans les annexes consultables.
Pour moi, qui n'y fis que d'oniriques visites, Remiremont est au bout du monde, plus loin que le cercle polaire, plus distant que l'étoile polaire.
Les sonorités du mot évoquent à la fois un verbe au futur par la terminaison, et un verbe au passé, par la syllabe initiale. Il associe mirage et montagne. Il invoque un émir.
Les romarimontains doivent à Romaric leur gentilé. Peut-être aussi une tendance à la gentillesse, puisque leur ville fût nid de chanoinesses.
Crédits : merci à l'auteur de cette photographie d'Ève Solange Terrasson-Duvernon, artiste de théâtre et poète. Elle était amie de Pierre Mac Orlan, qui préfaça son ouvrage Le Bonheur du jour (*) publié en 1950. Elle est donc, pour utiliser la notion moderne de distance dans les réseaux sociaux, une amie d'un ami ( Pierre Mac Orlan ) d'un de mes amis ( Henri Landier )...
Notes
(*) Le titre a été repris par José Cabanis en 1960. Il avait été antérieurement utilisé, en 1926, par Jean- Wladimir Bienstock et Curnonsky, alias Maurice Edmond Sailland , pour un recueil de nouvelles.
Remiremont, FranceTue, 26 Aug 2008 16:16:23 -0500
s'est inscrite quelque part dans les annexes consultables.
Pour moi, qui n'y fis que d'oniriques visites, Remiremont est au bout du monde, plus loin que le cercle polaire, plus distant que l'étoile polaire.
Les sonorités du mot évoquent à la fois un verbe au futur par la terminaison, et un verbe au passé, par la syllabe initiale. Il associe mirage et montagne. Il invoque un émir.
Les romarimontains doivent à Romaric leur gentilé. Peut-être aussi une tendance à la gentillesse, puisque leur ville fût nid de chanoinesses.
Crédits : merci à l'auteur de cette photographie d'Ève Solange Terrasson-Duvernon, artiste de théâtre et poète. Elle était amie de Pierre Mac Orlan, qui préfaça son ouvrage Le Bonheur du jour (*) publié en 1950. Elle est donc, pour utiliser la notion moderne de distance dans les réseaux sociaux, une amie d'un ami ( Pierre Mac Orlan ) d'un de mes amis ( Henri Landier )...
Notes
(*) Le titre a été repris par José Cabanis en 1960. Il avait été antérieurement utilisé, en 1926, par Jean- Wladimir Bienstock et Curnonsky, alias Maurice Edmond Sailland , pour un recueil de nouvelles.
Par Adamantane - Publié dans : L'opéra des tarots - Communauté : Poésie française
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